mercredi 13 août 2008

Gene Kelly. Mirror Image

La obsecion de la danza por mirarse en el espejo, no es una temática nueva, ya en los años 50 con las nuevas tecnologías que permitía la época, materializaba el pensamiento a través de su "doble" virtual.

Extracto de Amelia.Lalala Human Sytep.2003

« L'illusion d'optique créée par la scénographie contribue à engendrer cet effet. Il s'agit d'un plancher de bois franc dont les lattes partent du centre, dans quatre directions, s'allongeant à mesure qu'elles s'en éloignent. Une danseuse est étendue au milieu. Elle se lève. Nous la rejoignons tout en bas. C'est alors que nous réalisons que ce plancher n'a, en fait, aucune limite horizontale. Et qu'il monte vers le plafond, dévoilant une scène sans issue, où murs et sol ne font qu'un. Je voulais créer un plancher de danse qui englobe en quelque sorte les danseurs", explique Edouard Lock.(http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=7&article=28226)